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Les Affres de l'Amour - Blog de Françoise Seylac - Blog d'Auteur

Récit érotique : ma première fellation dans les sous-sols d'un hôpital

21 Février 2016 , Rédigé par Françoise Seylac Publié dans #texte érotique, #littérature érotique, #histoire érotique, #récit érotique, #fellation, #hôpital, #pipe, #sperme, #gland

POUR PUBLIC AVERTI

J'ai ce souvenir lointain de mes premiers émois érotiques. J'avais 18 ans révolu. Dans les choses du sexe, je n'étais pas très douée mais j'avais vite compris à quel point les garçons étaient sensibles à cela : le plaisir de se faire sucer. La première fois que je vis un sexe d'homme, j'osai à peine le regarder. Cette manifestation bien visible de leur désir, j'avoue, m'effrayait ; mais la Nature est bien faite. Lors de ma première pénétration, je sus en ce jour, historique pour moi, que j'aimais cela et que je comptais bien en user à nouveau sans modération. Un jour, un garçon me présenta son sexe. Mon Dieu ! Que cela me sembla énorme !  Il me demanda de le sucer. Quoi ? Est-ce possible ? Mettre ma bouche... dans... avec... Non ? Certaines de mes copines, plus délurées que moi, m'en avaient déjà parlé : la fameuse "pipe". Ça m'avait tellement choquée que je pensais qu'il s'agissait de divagations. Mais, en cet instant, face à la queue bien raide et gonflée de mon petit copain, je réalisais que ces copines n'avaient pas raconté de bêtises. Oui, en effet, les garçons aiment bien qu'on leur fasse des choses à leur pénis, avec la bouche. Aussi, je me rappelle mes premiers essais hésitants : moi face à cette queue imposante et ne sachant trop quoi faire. On pourrait croire que les choses du sexe sont instinctives, mais ça n'est pas toujours vrai. A mon époque, il n'y avait pas toutes ces images de sexe qu'on peut voir facilement, comme aujourd'hui sur Internet. Alors, il fallait avoir de l'imagination et le goût de la découverte. Ainsi, je fis ce que je pu faire, tant bien que mal. Le garçon était manifestement déçu de mon manque d'audace et d'expérience. J'aurais pu en rester là et renoncer définitivement à ce genre de pratique sexuelle. Mais...

J'ai 20 ans. J'ai un job d'été dans les archives de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre. Un beau jeune homme, plus vieux que moi, 26 ans, me fait du gringue. C'est un coquin ! Avec lui, je me marre  et il embrasse merveilleusement bien. ll m'a parlé de son fantasme : faire des choses coquines dans les archives, sous-sol de cet hôpital. Alors, un soir, nous attendons que tout ce petit monde des archives s'en aille regagner ses pénates. Enfin seul ! La magie des lieux opère. Les grands rayonnages chargés de dossiers médicaux, retombent dans le calme et le silence. Nous pouvons jouer à cache-cache dans le dédale des allées. Plus rapide que moi, il me coince et finit par m'attraper. Il faut dire que je n'avais pas envie de trop courir. Il me plaque contre le rayonnage et m'embrasse langoureusement tout en me pelotant avec passion. Il me serre si fort que je sens la dureté de son sexe contre mon bas ventre. Alors, cette fois-ci, j'ai envie de jouer les délurées. Bientôt je m'agenouille devant lui et je me mets à caresser la bosse de son sexe à travers le tissu de son jean. Hum... ça le chauffe grave ! Puis, je baisse la fermeture éclair de son pantalon et il m'aide à défaire sa ceinture. Ça y est ! J'en arrive au caleçon. Je prends mon temps. Je le caresse d'une main aventureuse. Sa queue est bien dure, et ses couilles aussi. Mes doigts fouineurs arrivent à se glisser dans l'ouverture de son caleçon. Hum... Je sens sa peau douce et chaude, filer sous ma main. Son odeur corporelle m'enivre ; ça me donne de l'audace. Sa queue frémit sous mes caresses. Puis, d'un geste, je baisse tout : son pantalon et son caleçon. Je me retrouve nez à nez avec cette belle queue qui coule de désir pour moi. Du bout de la langue, je recueille, comme un nectar, les gouttes transparentes qui s'en échappent. Hum... c'est salé. Ma langue, de plus en plus goulue, finit par lécher tout le gland. Je l'entends déjà soupirer. Puis, j'avale tout le gland. Je me mets à le sucer dans un doux va-et-vient. Il est aux anges. Sa bite est tellement grosse que je ne peux qu'en avaler la moitié. Alors, de temps en temps, je la sors de ma bouche pour la lécher sur toute sa longueur. Je vais jusqu'à me risquer vers ses couilles. Il soupire fort. Soudain, il m'attrape la tête et me la maintient pour me guider. Il me fait avaler sa queue et je la gobe sans sourciller.  Il accentue le mouvement de sa queue dans ma bouche. Il respire fort. Puis, il se retire. Alors il me demande de lui lécher le gland pendant qu'il se branle. L'action conjuguée de ma langue et de sa main, le transporte de plaisir. Tout à coup, il jouit bruyamment dans un spasme. Une giclée de sperme souille mon visage. Je me retrouve, pleine de sperme. Que faire ? Il me regarde en souriant et se met à me caresser tendrement la joue. Ses doigts s'imprègnent de son sperme et il en enduit mes lèvres. Puis, il progresse et pénètre ma bouche. Sous l'action de sa main,  la laitance nacrée coule jusqu'à mon menton. Alors, il ne manque pas de recueillir délicatement de ses doigts le foutre et me le donne à lécher. Ne voulant pas gâcher la magie de l'instant, j'accepte docilement ce repas qu'il m'offre.  Ainsi, j'avale peu à peu tout de lui. Une saveur âcre envahit ma bouche. Il me nourrit de ce festin liquide jusqu'à la dernière goutte. C'était mon premier repas de sperme.        

 

                                                                                    Françoise Seylac  

 

                                                                                                  Commentaire et contact en bas de page             

Récit érotique : ma première fellation dans les sous-sols d'un hôpital
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N
Waouh! Quelle plume, je ne m'y attendais pas, on durcit bien vite l'écorce du grand chêne avec vos écrits...
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L
Je n'ai pas adhérer car les termes "bite" et "queue" me freinent. Mon érotisme à moi n'a pas de nom mais plutôt des sensations. <br /> Ce style est trop brutal et trop descriptif. C'est là qu'onv oit que le style érotique est difficile puisque tout le monde ne peut pas mettre de mot sur les sensations. <br /> Dommage...
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F
L'érotisme touche à notre intimité la plus secrète. Certains ont besoin de visions fortes, voire choquantes, alors que d'autres préfèrent la subtilité, les images presque pudiques et délicatement suggestives. Tous les goûts sont dans la nature.
T
Beau récit j'aurais bien aimer être à ta place car je suis marié mais j'ai vraiment envie d'avoir une aventure de ce genre
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B
j adore votre façon d écrire et de sucer! hummm!
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F
Merci
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R
Bravo pour votre écriture, les archives de l’hôpital paraissent moins sombres maintenant.
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